« I don’t sing because I’m happy ; I’m happy because I sing. »
Raclements de gorge, voix rauque, toussotement – et puis la question « t’as le rhume? ». C’est à peu près comme ça que ma voix a commencé à muer à l’âge de 48 ans. Et ce fut l’une des expériences les plus passionnantes de ma transition. En effet, grâce à l’hormonothérapie par testostérone, j’ai vécu une deuxième puberté. Et cela comprenait aussi une mue vocale qui a catapulté ma voix vers le bas en quelques semaines.